dimanche 21 mai 2023

16 - Dans un contexte de culture et de langue différent du nôtre, c’est notre culture personnelle qui prime !

En ce moment je me retrouve en train de faire le point sur l’expérience de vie d’ans une grande ville de la taille de Lima (la capitale du Pérou où je vis depuis quelques années) et ce qui m’y conduit c’est mon expérience d’origine, c’est-à-dire que je viens d’une petite ville marocaine.

Quelle est donc mon expérience de vie dans une grande ville d'Amérique latine ? En général les grandes villes d'Amérique latine sont connues pour leur énergie, leur diversité culturelle et leur ambiance animée. Les villes les plus connues de la région comprennent Mexico, Sao Paulo, Rio de Janeiro, Buenos Aires et Bogota. La vie dans ces villes peut être très animée, avec une multitude de choses à faire et à voir. Les rues sont souvent remplies de bruit et de mouvement, avec des gens qui se déplacent rapidement pour aller travailler ou vaquer à leurs occupations quotidiennes. Elles offrent également une grande variété de nourriture et de boissons, avec des plats locaux uniques et des boissons traditionnelles (Surtout au Pérou ! Ici dès qu’on fait votre connaissance il faut se préparer à répondre à la question : « comment trouvez-vous notre nourriture ? » Moi, je leur réponds sincèrement mais j’y ajoute une dose d’humour ! « Elle est variées et délicieuse !! .. je ne risque pas de dire le contraire sinon vous me tuerez !! »). Les bars et les restaurants sont souvent très animés, avec des gens qui se rassemblent pour socialiser et profiter de la vie nocturne.

Cependant, la vie dans les grandes villes peut également être difficile. Le trafic peut être très dense et chaotique, avec des embouteillages qui peuvent durer des heures. La pollution de l'air peut également être un problème, en particulier dans les villes très peuplées.

Il y a également des défis en termes de sécurité, avec des taux de criminalité élevés dans certaines régions. Les gens doivent être vigilants et prendre des mesures de précaution pour se protéger contre le vol et la violence.

En fin de compte, la vie dans une grande ville peut être très enrichissante et passionnante, mais elle peut également être difficile et nécessiter une certaine adaptation. Cependant, les gens qui aiment la vie urbaine et qui sont prêts à relever des défis pourraient trouver que la vie dans une grande ville d'Amérique latine est une expérience incroyablement enrichissante.

Et la vie dans une grande ville d'Europe ? sans y avoir vécu je dirais que la vie dans une grande ville européenne peut être très différente de celle dans une grande ville d'Amérique latine. Les villes européennes sont souvent caractérisées par leur histoire, leur architecture et leur culture riche. Les grandes villes telles que Paris, Londres, Rome, Madrid et Berlin sont réputées pour leurs musées, leurs galeries d'art, leurs sites historiques et leurs monuments emblématiques tels que la Tour Eiffel, le Colisée et le Big Ben.

Les villes européennes sont également connues pour leur cuisine de haute qualité, avec des restaurants étoilés et des marchés alimentaires traditionnels. Les cafés et les boulangeries sont des lieux de rencontre populaires, où les gens peuvent prendre une pause et se détendre avec un café et une pâtisserie.

Une grande ville en général peut avoir une vie nocturne dynamique et une scène musicale diversifiée. Les festivals et les événements culturels sont également très populaires, avec des spectacles de théâtre, des concerts de musique et des expositions artistiques.

En plus des défis tels la congestion routière, la pollution de l'air et les problèmes de sécurité, les coûts de logement peuvent également être élevés, en particulier dans les quartiers les plus recherchés.

En fin de compte, la vie dans une grande ville nécessite une certaine adaptation pour s'habituer au mode de vie urbain qu’il soit latin ou européen.

Et en Asie ? Je suppose que, la vie dans une grande ville asiatique peut être très différente de celle dans une grande ville d'Europe ou d'Amérique latine. Les villes asiatiques sont souvent caractérisées par leur dynamisme économique, leur développement rapide et leur culture riche. (N’est-ce pas Tokio la plus peuplée du monde ?) On sait que Tokyo, Séoul, Shanghai, Hong Kong et Singapour sont des centres économiques et commerciaux importants, avec une population jeune et cosmopolite.Les villes asiatiques sont également connues pour leur cuisine de rue, avec des plats locaux uniques et une grande variété de plats internationaux. Les marchés nocturnes et les restaurants sont des lieux populaires où les gens peuvent se rassembler pour manger et socialiser dans des bars et des clubs qui restent ouverts tard dans la nuit. Les centres commerciaux modernes sont également très populaires, avec des magasins de luxe et des marques internationales (D’après les connaissances que j’ai en regardant des films, des vidéos ou simplement en naviguant sur Internet)

Finalement, la vie dans une grande ville peut offrir une expérience unique avec une grande variété de possibilités pour la nourriture, les loisirs et la vie nocturne, mais elle peut être coûteuse et nécessiter une certaine adaptation pour s'habituer au mode de vie urbain .

Oui ! je n’oublie pas de me le demander ... Et dans le monde arabe ? Clichés ! Et là aussi connaissances générales oblige ! (Malheureusement le transit entre les pays arabes laisse beaucoup à désirer !! Quand j’y pense! Tellement de problèmes entre les frontières de ces dits pays!! Les uns ont peur des autres!! Les voyages coûtent chers en plus des conflits politiques et militaires!! Les régimes installés et soutenus par les grandes puissances en plus de la composante religieuse fataliste des peuples arabo musulmans freinent tout développement et progrès civilisationnels. La circulation difficile entre ces pays a donc un impact négatif sur le tourisme; cela se répercute sur les autres secteurs de l’économie: Il suffit de voir les échanges entre ces pays qui ont soi-disant la même langue et la même culture religieuse (avec des nuances bien entendu!) et de les comparer avec le monde étranger et vous comprendrez!! .. Cela me dégoûte à chaque fois que j’y pense!! .. Faites m’en grâce! Je m’arrête là!! Merci)

Je ne nie pas bien sûr que les villes arabes sont caractérisées aussi par leur histoire et leur culture riche, leur architecture unique et leur tradition culinaire. Le Caire, Bagdad, Alger, Dubaï ou Casablanca en sont des exemples (dans le sens décroissant du nombre d’habitant de 22 millions à plus de 4 millions). Ces villes sont connues pour leur architecture islamique traditionnelle, leurs souks colorés, leurs centres commerciaux modernes et leur riche patrimoine culturel.

La cuisine arabe est également très variée et délicieuse, avec des plats tels que le taboulé, le houmous au moyen orient, le couscous et les tajines dans le nord-africain, qui sont populaires dans le monde entier. Les cafés traditionnels sont des endroits populaires où les gens peuvent se rassembler pour boire du thé et discuter (Pour l’alcool, il faudrait aller dans des lieux touristiques ou des hôtels étoilés sinon s’approvisionner dans des supermarchés qui vendraient soi-disant à des non musulmans!). Cependant, en raison des traditions religieuses et culturelles, la vie nocturne est souvent plus modérée que dans les grandes villes occidentales.

Alors passons à un autre niveau une fois approchées les grandes villes !

Comment se sentirait-on, vivant dans une grande ville ? (Enfin j’y arrive! .. à la question du départ! ..Ouf!) Cela dépend des personnes et des expériences je dirais. Toute réflexion faite, je pense à l’excitation (Vivre dans une grande ville peut être excitant en raison de la diversité culturelle, de l'énergie, des événements et des opportunités qu'elle offre. Il y a toujours quelque chose à faire ou à découvrir, et cela peut donner une sensation de vivacité). Et le stress! (Le rythme de vie dans une grande agglomération peut être rapide, frénétique et stressant. Les embouteillages, les transports en commun bondés, les délais serrés et le bruit peuvent tous contribuer à un sentiment de stress et d'anxiété). Mais une grande liberté quand même (Les grandes villes offrent souvent plus de liberté et de possibilités de choix en termes de carrière, de style de vie, de culture et d'expériences. Cela peut donner un sentiment de liberté et d'indépendance). C’est d’autant plus vrai que personnellement, une fois arrivé à Lima je ne voulais pas trop penser à ce que j’allais y faire (pour vivre je m’entends!). J’ai pris tout mon temps, presque six mois avant de me décider, une fois rencontré une opportunité à ma mesure!! Je me suis senti d’autant plus libre que je n’étais pas pris d’assauts par ma formation initiale (scientifique) et mes petites expériences en industrie ou, après un recyclage et reconversion, par d’autres type de boulot après une formation en informatique (de l’époque) et aux techniques de marketing et merchandising en ligne!

Isolement ! Voilà une autre sensation qu’il est facile de sentir seul et tellement isolé en raison de la grande population et du manque de communauté. Les relations interpersonnelles peuvent être plus superficielles et éphémères dans une grande ville en raison de la rapidité et de l'agitation de la vie urbaine. Mes amis sont mes collègues au travail ou les amis de la famille d’ici. Le changement du rythme de vie et les nouvelles situations dans un autre contexte culturel font que je ne peux faire autrement. Alors que je me connais, je fais des amis dès les 1ers jours d’installation dans une autre ville de ma culture! (Oui: justement je vais en revenir! la culture!!). Donc en plus des sentiments déjà cités, il en reste un : l’émerveillement! (Les grandes villes offrent souvent une architecture, une histoire et une culture incroyables qui peuvent être inspirantes et émerveillantes. Les monuments historiques, les musées, les galeries d'art et les quartiers uniques peuvent donner un sentiment de fascination et d'émerveillement). Le Pérou! les Andes qui vous portent jusqu’à une altitude de + de 6000 m d’altitude! « Matchu Picchu », ça vous dit quelque chose ? (à vos claviers!!). Les civilisations très anciennes, la diversité géographique (l’Amazonie, la côte pacifique et la cordillère « Selva, Costa y sierra» en jargon local!) en plus des aspects historique et culturel; tout cela influence la culture personnelle de tous les habitants de ce pays dont justement le tiers de la population est à Lima!! Comment ne pourrait-on pas en être émerveillé!! (je parle pour un étranger bien sûr! Je sais « Personne n’est prophète dans son coin!» ;! )

Jusqu’à maintenant, la vie dans une grande ville peut offrir une gamme d'expériences différentes, positives ou négatives, et cela dépend de nombreux facteurs, tels que la personnalité, les intérêts, les habitudes de vie et la capacité d'adaptation.

Poussons la réflexion! Je disais que je venais d’une petite ville d’un autre pays !

Qu’en est-il de la vie dans une petite ville ? Je pense aussitôt à « la vie de communauté » où les gens ont tendance à se connaître et à se soutenir mutuellement. Les relations interpersonnelles sont souvent plus profondes et plus durables, ce qui peut créer un sentiment de communauté et de proximité. A la tranquillité due au rythme de vie plus lent et plus paisible, ce qui peut donner un sentiment de détente aussi. Les paysages naturels, les rues calmes et les espaces verts peuvent également contribuer à une sensation de sérénité. Au confort : En ce sens qu’on se sent en famille car les habitudes et les traditions sont plus ancrées. Les magasins locaux, les restaurants familiaux et les événements communautaires réguliers peuvent tous contribuer à une sensation de confort et de stabilité.

Par contre je dois citer les limitations dans la mesure où les choix et les opportunités peuvent être plus limités en termes de carrière, de culture et d'expériences. Les personnes qui ont des ambitions plus grandes ou qui recherchent une plus grande diversité culturelle peuvent se sentir frustrées par ces limitations. En tout cas le patelin (pour ne pas dire la petite ville) d’où je suis venu moi, est bonne pour les retraités ! Pour la petite histoire, je me rappelle les propos d’un ami qui vivait et travaillait à Casablanca et qui venait de temps en temps rendre visite à sa famille, quand je l’ai rencontré un matin au café club (mon quartier en train de méditer seul devant sa petite tasse de café ! « Ah si seulement je pouvais vivre ici et travailler là-bas à Casablanca ! » Eh oui, la grande ville donne l’opportunité mais pas la tranquillité !! Ou autrement, si on voit le revers de la médaille : Alors que la petite ville te limite, la grande t’ouvre les portes pour plus de liberté !). Pire encore la monotonie : Dans une petite ville, il peut être facile de tomber dans une routine ou de se sentir ennuyé en raison du manque d'événements ou de nouveautés. Les gens peuvent également avoir tendance à se connaître depuis longtemps, ce qui peut parfois causer de la monotonie.

Je poursuis mon monologue (c’est excitant, la connexion d’idées ! C’est créatif je dirais !)

Poursuivons... : Que dirait-on d'une transition de vie entre une petite ville d'un continent et d'une culture donnés vers une grande ville d'un autre continent de culture différente ? Il faudrait vraiment vivre l’expérience pour en parler ! (Mince ! je n’ai aucun rapport avec l’anthropologie ou la sociologie ! Qu’à cela ne tienne ! Cela ne m’empêche pas de réfléchir et d’exprimer mes impressions me basant sur ma propre petite expérience!)

Une transition à travers une expérience très enrichissante certes mais aussi difficile. Voici quelques points à considérer : D’abord le passage d'une petite ville à une grande ville peut déjà être une expérience culturelle en soi, mais lorsqu'on ajoute une culture différente, cela peut être un choc culturel important. Les traditions, les valeurs et les modes de vie peuvent être très différents et il faudra s'adapter à ces différences. Dans mon cas je ne parlerais pas d’un choc, connaissant déjà la culture occidentale pour avoir déjà vécu en France. Ce choc je l’avais vraiment expérimenté à mes arrivées dans ce pays c’est vrai. En jeune étudiant universitaire étranger qui, au lieu d’être préparé et orienté culturellement par les instances et organisations qui le préparent, je focalisais sur la seule pratique et maîtrise de la langue !! Ah voilà que la question de « la langue » vient s’ajouter au problématique de « La culture » !! (Tiens je sens que ça vient... ! la problématique !!)

Ensuite (j’ai déjà cité l’isolement !!) la diversité culturelle, du lieu d’immigration peut être fascinante et enrichissante. Cependant, il peut également y avoir des défis dans la compréhension et l'acceptation des cultures différentes. (Je vous le disais.. ça vient !). Enfin je pense au problème de l’adaptation : S'adapter à une nouvelle ville, une nouvelle culture et un nouveau mode de vie peut prendre du temps. Il peut être difficile de s'adapter aux nouveaux environnements et aux nouvelles normes sociales.

En définitive, une transition de vie entre une petite ville d'un continent et d'une culture vers une grande ville d'un autre continent de culture différente peut être une expérience passionnante, mais il peut y avoir des défis à relever. De mon point de vue, la capacité d'adaptation, l'ouverture d'esprit et la patience sont des qualités importantes pour réussir cette transition.

.. Allons plus loin encore ! (décidément, j’ai de la patience ! Je ne lâche pas quitte à ne pas dormir sinon très tard !)

Qui est-ce qui prime alors pour s'installer dans un autre pays de langue différente ? la langue, la culture ou autres paramètres ?Le choix de s'installer dans un autre pays dépend de nombreux facteurs, tels que la situation personnelle, la carrière, la qualité de vie, la sécurité, etc. Mais lorsqu'il s'agit de s'installer dans un pays de langue différente, la langue et la culture sont souvent les facteurs les plus importants dirait la majorité. La langue est un facteur déterminant dans l'intégration dans un pays, en tout cas c’est ce que disent les experts. Une connaissance de la langue locale est essentielle pour communiquer avec les habitants locaux, comprendre les règles et les normes sociales, trouver un travail, et effectuer des tâches quotidiennes telles que faire des achats ou se déplacer dans la ville. Si l'on ne parle pas la langue locale, il peut être difficile de s'intégrer et de se sentir à l'aise dans le nouveau pays. C’est sûr ! J’en conviens !

Mais la culture est également un facteur important dans le choix de s'installer dans un autre pays. Les différences culturelles peuvent influencer les habitudes alimentaires, les traditions, les valeurs, les pratiques religieuses, et les modes de vie. Les différences culturelles peuvent être source de fascination et d'enrichissement, mais elles peuvent également être déstabilisantes et exigeantes. Il est important d'être ouvert d'esprit et de respecter la culture locale pour s'intégrer avec succès dans un nouveau pays.

Personnellement je pense à d'autres paramètres à prendre en compte, tels que la situation économique et politique du pays, le climat, la qualité de vie, et la sécurité. Ces facteurs peuvent avoir un impact important sur la décision de s'installer dans un pays étranger, quoiqu’ils semblent souvent moins importants que la langue et la culture. Or la connaissance de la langue et le respect de la culture locale sont des facteurs clés pour réussir l'intégration et se sentir comme « chez soi » (je veux dire à l’aise !).

Soyons de plus en plus précis !

Comment définir la culture ? c'est quoi la culture d'un pays, d'une communauté ou d'un groupe ? On peut parler d'une culture personnelle ? Quels sont les éléments qui définissent une culture ? La culture est un concept complexe et multifacette qui se réfère aux valeurs, croyances, traditions, modes de vie, comportements, arts, et autres formes d'expression qui caractérisent une société, un groupe ou une communauté. La culture englobe l'ensemble des pratiques et des normes qui façonnent la vie des individus dans un environnement social donné.

Mais quand on évoque la culture d'un pays on l’associe souvent aux symboles nationaux, tels que la langue, les monuments historiques, les fêtes nationales, la gastronomie, la musique et les arts. Cependant, la culture d'un pays ne se limite pas à ces éléments externes. Elle comprend également les attitudes, les valeurs et les comportements des gens qui y vivent.

La culture d'une communauté ou d'un groupe peut également être définie par les mêmes éléments que la culture d'un pays. Elle peut également être influencée par des facteurs tels que la religion, l'origine ethnique, l'âge, le sexe ou la classe sociale. Alors, parler d'une culture personnelle, c’est dans la mesure où chaque individu a des expériences et des influences uniques qui façonnent sa perception du monde et ses comportements. De ce fait, la culture personnelle est souvent influencée par la culture environnante et partagée avec les autres membres de la communauté ou de la société. Les éléments qui définissent une culture sont nombreux et varient en fonction des contextes sociaux, géographiques et historiques (éléments clés déjà cités : la langue, les traditions, les coutumes, la religion, l'art, la musique, la danse, la cuisine, les vêtements, les croyances, les valeurs, les normes sociales, les rites de passage et les symboles). Chacun de ces éléments peut contribuer à la définition d'une culture et à la construction de son identité unique.

Mais cela nous ramène à la question suivante : pour s’acclimater avec la nouvelle culture issue des autres intervenants locaux et étrangers on ne peut pas perdre ou changer sa culture ? N’est-ce pas subir l’”acculturation" !

Par définition : « L'acculturation est un processus d'adaptation culturelle qui se produit lorsque des individus ou des groupes sont exposés à une culture différente de celle à laquelle ils sont habitués. Ce processus peut être volontaire ou involontaire, et peut se produire dans le contexte d'une migration, d'une colonisation, d'une mondialisation, ou d'une interaction interculturelle plus générale. »

L'acculturation implique alors souvent des changements dans les pratiques, les croyances, les valeurs et les identités culturelles des individus ou des groupes. Par exemple, un immigrant qui s'installe dans un nouveau pays peut adopter des pratiques alimentaires, vestimentaires et de langage qui sont différentes de celles de sa culture d'origine. De même, les enfants d'immigrants peuvent intégrer des éléments de la culture de leur pays d'accueil dans leur propre culture. Ceci dit j’ai bien peur que l'acculturation ne se produise pas toujours de manière harmonieuse ou équitable. Elle peut entraîner des conflits et des tensions entre les groupes, ainsi que des discriminations et des inégalités. Dans certains cas, les membres d'un groupe peuvent être contraints de renoncer à leur culture d'origine pour s'adapter à la culture dominante. Il est possible de perdre ou de changer sa culture au cours de l'acculturation. Cela dépend en grande partie de la manière dont le processus se déroule et de la façon dont les individus ou les groupes négocient leur adaptation culturelle. Dans certains cas, les individus peuvent perdre leur culture d'origine et adopter complètement la culture dominante. Dans d'autres cas, ils peuvent maintenir leur culture d'origine tout en intégrant des éléments de la culture dominante (Ce dernier aspect correspondrait bien à mon cas sans aller plus loin dans l’intégration ! Vivant dans un pays hispanophone, travaillant comme médiateur culturel de la langue française et donc la culture francophone, étant moi-même de culture différente des deux déjà citées ! Maîtrisant la langue française, communiquant en espagnol, je reste un nord-africain: c'est-àdire d'origine berbéro-africano-arabe!  Nuance ! Quoique de culture arabophone !)

Et parmi les autres concepts relatifs à la culture, (en faisant une petite recherche pour l’approfondissement de la question ! C’est permis, non ?) je trouve « l'ethnocentrisme » (la tendance à considérer sa propre culture comme supérieure à celle des autres. (Cela ne me concerne pas ! laisse tomber !) « « Le relativisme culturel » (l'idée que les cultures doivent être comprises dans leur propre contexte et qu'il n'existe pas de critères universels pour juger de leur valeur : Je préfère !! En tout cas c’est ce que j’en ai appris de mes petites expériences !! D’ailleurs « la relativité » depuis sa découverte par l’illustre savant Einstein nous évoque la modération et donc nous ramène à philosopher dans notre chemin vers « la vérité » absolue !)

Le concept de la diversité culturel n’en parlons pas (consommé !!).

Le plus intéressant pour le concept de « l'identité culturelle » c’est que l'appartenance à une culture donnée influence la façon dont les individus se voient eux-mêmes et sont perçus par les autres. (Voilà un point de mire dans cette réflexion !! N’est-ce pas ?)

Reste à explicitez la relation entre la langue et la culture ? La langue et la culture sont étroitement liées et interdépendantes. La langue est un moyen de communication qui permet aux individus d'exprimer leur culture et de transmettre leur savoir, leurs valeurs, leur histoire et leur identité. La culture, quant à elle, est l'ensemble des connaissances, des croyances, des comportements et des pratiques partagées par un groupe d'individus.

La langue est un élément central de la culture, car elle reflète les valeurs, les normes et les traditions d'un groupe. La manière dont une langue est utilisée, les expressions courantes, les proverbes, les tabous et les expressions idiomatiques reflètent souvent les aspects culturels les plus profonds d'une société.

Par exemple, certaines langues ont des mots ou des expressions qui n'existent pas dans d'autres langues, reflétant ainsi les concepts et les valeurs spécifiques à la culture qui les utilise. De même, les différentes manières de saluer ou de se comporter dans une conversation peuvent refléter des normes culturelles différentes. Les différences de langue peuvent également affecter la façon dont les individus perçoivent et interagissent avec le monde.

En somme, la langue est un véhicule important pour transmettre la culture, et la culture influence en retour la façon dont la langue est utilisée. La compréhension de la relation entre la langue et la culture est donc essentielle pour comprendre et apprécier les différences culturelles et linguistiques.

Or dans le milieu pédagogique et culturel on parle de « langue culture » car on considère que la langue seule ne représente que des codes et symboles !! Pourquoi parle-t-on de "langue culture" alors ? La langue ne peut-elle pas être vraiment considérée à part ? Pourquoi l’associer à la culture à tel point de les confondre ? Il faut des explications convaincantes !! C’est vrai que les éléments culturels tels que les normes, les valeurs, les croyances, les traditions, les expressions idiomatiques, les proverbes, etc. sont souvent incorporés dans la langue et influencent la manière dont elle est utilisée. Mais est-ce suffisant ? On ne doit pas oublier par ailleurs, que la langue est souvent utilisée d’une manière évidente comme un marqueur d'identité culturelle. Par exemple, la langue française est souvent associée à la culture française, la langue espagnole est associée à la culture espagnole, etc. La langue est un élément clé de l'identité culturelle et peut être un facteur important de la cohésion sociale avant de l’être pour la fierté nationale. Donc, en associant la culture à la langue, on reconnaît que la langue est bien plus qu'un simple outil de communication. Elle est un moyen de transmettre et de préserver la culture, de renforcer l'identité culturelle et de faciliter la communication entre les membres d'un groupe ou d'une société. D’où la "langue culture".

Ceci dit, cela n’empêche pas d’apprendre une nouvelle langue dans un contexte culturel différent. C’est toujours possible. En fait, c'est souvent le cas lorsque l'on étudie une langue étrangère. Cependant, même dans cette situation, il est important de comprendre que la langue est toujours liée à la culture. Par exemple, lorsque l'on apprend l'espagnol en France, on peut être exposé à une culture différente de celle de l'Espagne ou de l'Amérique latine, mais cela ne signifie pas que la langue est déconnectée de la culture espagnole ou latino-américaine. De plus, même si l'on peut apprendre une langue sans s'immerger dans la culture d'origine, il est souvent plus facile de comprendre et d'utiliser la langue correctement si l'on a une certaine compréhension de la culture qui lui est associée. Par exemple, si l'on apprend l'anglais, il peut être utile de connaître les expressions idiomatiques anglaises pour mieux comprendre le sens de certaines phrases. La connaissance de la culture peut donc faciliter l'apprentissage et l'utilisation de la langue.

La nouvelle langue apprise peut inversement s'adapter à la culture locale et peut devenir plus riche et diversifiée encore. Il y a beaucoup d'exemples dans le monde. Lorsque l'on apprend une nouvelle langue, on peut la mélanger avec des éléments de la culture locale, créant ainsi une nouvelle variante de la langue apprise.

Il y a en effet de nombreux exemples dans le monde de langues qui ont été adaptées à des contextes culturels différents. Par exemple, l'anglais est devenu une langue riche et diversifiée en raison de son utilisation dans de nombreux pays à travers le monde, chacun ayant apporté sa propre touche culturelle. De même, le français parlé en Afrique ou dans les Caraïbes a subi des influences culturelles locales qui l'ont rendu différent du français parlé en France.

Certes, ces adaptations culturelles peuvent enrichir la langue, mais il est important de noter que la langue reste toujours liée à la culture d'origine. C'est pourquoi il est important d'avoir une compréhension de base de la culture associée à la langue pour mieux comprendre et utiliser la langue de manière appropriée.

Où va s’arrêter cette réflexion ? Je me le demande !.. Patience ! Tout début à une fin !

Continuons donc !

On peut remarquer aussi que la relation avec la culture d'origine associée à la langue peut s'enliser ou être perturbée par les pratiques différentes dans différentes régions de telle sorte que l'anglais (lié à la culture anglaise d'origine) est devenu une langue véhiculaire (utilisée pour la communication entre des personnes ayant des langues maternelles différentes pour éviter des conflits et des guerres) à travers le monde en raison de son utilisation généralisée dans les domaines du commerce, de la science et de la technologie. Autres conséquences notées dans ce cas c’est la notion de « diglossies » (variétés linguistiques différentes utilisées dans des contextes différents). Le cas de l’arabe est flagrant (les dialectes nord africains ou d’autres régions qui cohabitent avec l’arabe classique étudié à l’école) alors que pour le français, le concept ne suscite pas tellement l’unanimité !

En bref, la géographie, l'histoire et les échanges culturels influencent grandement la relation langue-culture. Il est donc important de comprendre les nuances culturelles associées à une langue donnée pour mieux communiquer et interagir avec les locuteurs natifs.

Alors comment qualifier cette relation de la langue et la culture si l'on prend en considération tout ce qu'on a dit ? C’est indéfinissable en somme, car c'est une relation changeante, parfois difficile d'appréhender. C’est tellement complexe et multifacette et peut être difficile à définir de manière précise. La relation entre la langue et la culture n'est effectivement pas statique et peut évoluer au fil du temps, en fonction des changements sociaux, politiques et économiques. La diversité linguistique, les contacts entre les langues, l'acculturation, la migration et d'autres facteurs peuvent également influencer la relation entre la langue et la culture.

Réflexion close !

Conclusions tirées, revenant à la question du départ où je voulais seulement mettre le point sur ma situation personnelle dans deux contextes différents, je fais retomber maintenant la question relative à la problématique de la culture et tout ce qui s’en suit, sur « l’individu » la « personne ». On parlera alors d’ « une personne  une culture » ou « une personne cultivée ». D’ailleurs que veut dire tout cela ? Je sais que lorsqu'on parle d'une personne cultivée, on fait généralement référence à une personne qui possède une connaissance approfondie et variée dans plusieurs domaines de la culture, notamment dans les arts, la littérature, la philosophie, l'histoire, la politique, la musique, etc. C'est une personne qui a une grande curiosité intellectuelle et qui a acquis une solide éducation tout au long de sa vie, soit à travers des études formelles, soit à travers sa propre initiative personnelle (l’apprentissage informel qui constitue à lui seul les 75 % paraît-il de nos connaissances acquises selon des études et statistiques).

La culture générale est une composante importante de la culture, mais cela ne se limite pas aux connaissances académiques et universitaires. La culture comprend également les connaissances acquises à travers l'expérience personnelle, les voyages, les rencontres avec des personnes de différentes cultures, les activités artistiques et culturelles, les loisirs, etc. De ce fait, « une personne cultivée » est une personne qui a une compréhension et une appréciation profondes de la richesse de la culture et qui peut s'exprimer avec aisance et intelligence sur un large éventail de sujets culturels.

Finalement, la culture personnelle d'un individu peut jouer un rôle clé dans son adaptation à un contexte culturel différent. Cela peut inclure ses expériences de vie antérieures, ses valeurs et croyances, ses intérêts, ses compétences et ses connaissances. Même si la maîtrise de la langue est importante pour la communication et la compréhension des nuances culturelles, elle ne suffit pas toujours pour une adaptation complète à une nouvelle culture. Par conséquent, développer une culture personnelle riche et diversifiée peut être un atout important pour l'adaptation à un nouveau contexte culturel.

Conclusion finale:

Vivre dans une grande ou petite ville, dans un continent ou un autre, dans un pays ou un autre, dans un quartier ou un autre, c’est donc ma qualité de personne cultivée ou non qui prendra le dessus quel que soit le contexte de culture et de langue où je me trouverais. C’est elle que je questionnerai dorénavant s’il m’était donné de changer d’air.

jeudi 6 avril 2023

15 - Je partage quand même ma gratitude et ma joie !


Aujourd’hui je choisis d’être un peu mental dans l’expression de mes humeurs ces derniers temps ! Je suis tellement l’actualité, là où je vie physiquement (et là où je vis intérieurement ! ma chère patrie !) et ailleurs aussi et .... alors que tout porte à me rendre plutôt agacé, fatigué, en colère, exaspéré, et frustré... je décide que l’humeur positive l’emporte ! (Je suis aussi libre dans mes pensées et agissement que dans mes choix puisque le jour où je rendrai les comptes rien ne viendrait à mon salut sinon ... mes bonnes actions et intentions !)

Alors ?

Agacé ! Je suis vraiment agacé par la façon dont les gens se comportent sur les réseaux sociaux ces derniers temps. Il semble que tout le monde soit devenu un expert en tout et que tout le monde ait un avis sur tout. Je comprends que les réseaux sociaux sont un endroit où nous pouvons partager nos opinions et nos points de vue, mais cela ne devrait pas se faire au détriment des autres. Les insultes, les attaques personnelles et les propos haineux sont de plus en plus courants, et cela doit cesser. Nous devons nous rappeler que derrière chaque écran se trouve une personne réelle, avec des sentiments réels. Nous devons traiter les autres avec respect et dignité, même si nous ne sommes pas d'accord avec eux. Nous devons apprendre à écouter les opinions des autres et à dialoguer de manière constructive. Heureusement je ne suis pas très actif sur « la red » sinon d’une manière classique car comme vous constatez, je préfère le blog... qu’on interagisse ou non, je fais ce que je dois faire et c’est aux autres de commenter s’ils veulent ! (Je suis sûr qu’un jour on reviendra au blogging !!)

Frustré ! De plus, je suis également frustré par la désinformation qui est propagée sur les réseaux sociaux. Les fausses nouvelles et les théories du complot se répandent rapidement, et il est souvent difficile de distinguer le vrai du faux. Nous devons être des consommateurs critiques d'informations et nous assurer de vérifier nos sources avant de partager quoi que ce soit. En fin de compte, je crois que les réseaux sociaux ont le potentiel de connecter les gens et de favoriser le dialogue, mais cela ne peut se faire que si nous agissons de manière responsable et respectueuse. Nous devons tous faire notre part pour créer un environnement en ligne sain et positif. Malheureusement, nous savons bien qu’il y a des agitateurs ! Ceux qui y sont , pas pour le business, ça c’est permis tant que ça reste dans la netiquette, mais pour la manipulation, l’intrusion surtout pour influencer des groupes ou individus pour changer de cap ou de camp.. ou pour les conduire vers des fins bien définies !

Je suis fatigué de voir la division et la haine qui règnent dans nos sociétés. Il semble que partout où nous tournons notre regard, il y a des personnes qui s'opposent les unes aux autres sur des questions politiques, sociales et culturelles. Nous avons oublié que nous sommes tous des êtres humains, et que nous partageons tous cette planète. Nous avons des différences, bien sûr, mais cela ne devrait pas nous diviser ou nous faire haïr les uns les autres. Nous avons besoin de plus de compassion et de respect dans notre monde. Nous devons écouter et essayer de comprendre les perspectives des autres, même si nous ne sommes pas d'accord avec elles. Nous avons besoin de reconnaître notre humanité commune et d'accepter nos différences. Il est temps de se réveiller et de prendre des mesures pour changer notre comportement. Nous pouvons commencer par avoir des conversations honnêtes et respectueuses avec ceux qui ont des opinions différentes des nôtres. Nous pouvons faire des actes de gentillesse et de générosité envers les autres, sans distinction de race, de religion ou de statut social.

En fin de compte, nous devons tous prendre la responsabilité de créer un monde plus juste et plus équitable. Nous pouvons tous faire une différence, même si c'est à une petite échelle. Ensemble, nous pouvons faire un pas en avant vers un avenir meilleur et plus pacifique pour tous. Personnellement je crois à la notion de « mantra » cette énergie positive qui peut se dégager d’un groupe cohérent conscient et positif. Ça me rappelle des moments où on a demandé aux Terriens de couper l’électricité à une heure commune, et sur le modèle on pourrait suivre le pas pour prier cette fois-ci et avoir une pensée positive pour notre environnement Terrien ou Universel.

Je suis en colère contre l'injustice, contre l'oppression, contre la violence. Je suis en colère contre le fait que certaines personnes aient le pouvoir de contrôler et de nuire à d'autres. Je suis fatigué de voir des personnes innocentes souffrir à cause de la couleur de leur peau, de leur religion, de leur genre ou de leur nature sexuelle. Je suis fatigué de voir des gouvernements corrompus qui ne travaillent pas pour le bien de leur population, mais plutôt pour  leur propre enrichissement. (les exemples sont flagrants : Quelle ressemblance entre le pays où je réside en permanence, le Pérou et le mien, le Maroc, que je porte dans mon cœur. D’un côté une « machine » appelée « fujimorisme » qui s’est installée dans les années 90 et qui a beau faire partie de l’histoire maintenant que je parle, a gardé ses « pignons » toujours nostalgiques à cette époque et qui continuent de huiler l’engrenage allant d’une mafia à l’autre pour saccager la terre et vendre les richesses et les ressources pour leurs propres intérêts et celui bien sûr de leurs maîtres qui les protègent, bafouant les droits des indigènes maltraités et discriminés par ailleurs ; et d’un autre, une « conspiration » historique appelé « makhzen »  qui a fait prolongé la durée de vie d’une dynastie - avec l’aide de puissances étrangère telle la France- qui devait déguerpir depuis belle lurette comme ses prédécesseurs, et l’imposer comme des brodequins militaires sur la nuque du peuple qui ne peut s’exprimer ni dans les réseaux sociaux faute d’être longuement emprisonné !)

Exaspéré ! Je suis exaspéré de constater que certains individus ignorent les preuves scientifiques et refusent de prendre des mesures pour protéger la santé et le bien-être de tous. Nous sommes confrontés à une crise sanitaire mondiale, et nous devons tous faire notre part pour protéger les plus vulnérables de notre société. Je suis également frustré par l'indifférence de certaines personnes face à ces problèmes. Comment pouvons-nous rester silencieux et ne rien faire alors que des atrocités sont commises chaque jour dans le monde entier ?

Nous avons tous le pouvoir de faire une différence, que ce soit en exprimant notre voix, en faisant des dons à des organisations caritatives (là, personnellement je préfère donner directement ! De main en main ! ) , en prenant des mesures pour protéger notre communauté ou en exigeant des changements de nos dirigeants. Nous devons nous rappeler que nous sommes tous des êtres humains, et que nous méritons tous le respect, la dignité et la liberté. Nous devons nous unir pour lutter contre l'injustice et l'oppression, et travailler ensemble pour construire un monde plus juste, plus équitable et plus inclusif pour tous.

>Hélas ! Je suis toujours ... en colère. Je suis en colère contre un système qui valorise l'argent et la réussite à tout prix, au détriment de l'empathie, de la compassion et de l'égalité. Je suis en colère contre les inégalités qui persistent dans nos sociétés, que ce soit en termes de genre, de race, de classe sociale ou de sexe. Nous devons travailler ensemble pour démanteler ces systèmes oppressifs et créer un monde plus juste et équitable pour tous.

Je suis en colère contre la stigmatisation et la discrimination qui touchent les personnes atteintes de maladies mentales. Nous devons reconnaître que la santé mentale est aussi importante que la santé physique, et fournir un accès égal aux soins de santé pour tous.

Je suis en colère contre le manque de soutien pour les personnes les plus vulnérables de notre société, comme les personnes sans-abri, les personnes âgées, les personnes en situation de handicap et les enfants en difficulté. Nous devons investir davantage dans des programmes de soutien social pour assurer que personne ne soit laissé pour compte.

Je suis en colère contre la violence et la haine qui sévissent dans notre monde. Nous devons promouvoir la paix, la tolérance et le respect mutuel pour toutes les personnes, sans distinction de race, de religion ou de nationalité.

En fin, je suis en colère mais je suis aussi déterminé à agir pour le changement. Nous pouvons tous faire une différence en travaillant ensemble pour construire un monde meilleur et plus juste pour tous. Nous avons besoin d'une société qui valorise la compassion, l'empathie et la solidarité. Nous pouvons y arriver, mais cela nécessite que chacun d'entre nous prenne la responsabilité de faire sa part.

Aujourd'hui encore..., je suis en colère. En colère contre la discrimination, la haine et l'intolérance qui continuent de régner dans nos sociétés. En colère contre ceux qui refusent de voir la réalité de la situation et qui préfèrent fermer les yeux sur les injustices qui se produisent tous les jours. Il est facile de dire que nous vivons dans une société tolérante et ouverte, mais la vérité est que nous sommes encore très loin de l'égalité et de la justice pour tous. Les inégalités économiques, sociales et raciales persistent, et les personnes les plus vulnérables sont souvent les plus touchées. Il est temps que nous prenions nos responsabilités en tant que membres de cette société globale et que nous nous engagions à lutter contre la discrimination et l'injustice sous toutes ses formes. Nous devons être prêts à remettre en question nos propres préjugés et à écouter les voix des personnes qui sont marginalisées et opprimées. Nous devons également exiger que nos dirigeants prennent des mesures concrètes pour lutter contre la discrimination et promouvoir l'égalité. Cela signifie investir dans l'éducation, la santé et le bien-être de tous, et créer des politiques et des programmes qui soutiennent les personnes les plus vulnérables.

Bref, nous avons tous un rôle à jouer dans la construction d'une société plus juste, plus équitable et plus tolérante. Nous ne pouvons pas nous permettre de rester silencieux ou indifférents face à l'injustice. Nous devons agir ensemble pour créer un avenir meilleur pour tous.

La bonne nouvelle ! ..Tout de même !!

Malgré tout ça, aujourd'hui, je veux partager avec vous ma joie et ma gratitude pour l’autre face qui est toute belle et positive dans notre monde. Dans un contexte où les nouvelles négatives et les défis quotidiens peuvent parfois nous peser, il est important de prendre un moment pour apprécier les bonnes choses de la vie.

Tout d'abord, je suis reconnaissant pour la beauté de notre planète. De la majesté des montagnes aux eaux cristallines des océans, il y a tant de merveilles naturelles à admirer et à apprécier. La nature est un cadeau précieux que nous devons préserver et protéger pour les générations à venir.

Je suis également reconnaissant pour les merveilles de la technologie et de l'innovation qui nous permettent de communiquer, de travailler et de vivre de manière plus efficace et plus connectée que jamais auparavant. La technologie a permis de réaliser des progrès dans tous les domaines de la vie, de la médecine à l'exploration spatiale. Mais ce qui me rend le plus heureux, ce sont les gens autour de moi. J'ai la chance d'avoir des amis (pas beaucoup quand même !) et des membres de ma famille aimants et attentionnés qui m'inspirent... et me soutiennent dans tout ce que je fais (là je pense que non, ils ne savant pas trop de mes préoccupations ni de mes projets ! sauf les intimes ! bien sûr !). Leurs sourires, leur rire et leur compagnie m'apportent de la joie et de la force chaque jour.

Je suis également reconnaissant pour les inconnus qui croisent ma route et qui apportent une lumière dans ma vie. Les gens que je rencontre dans les transports en commun (de tout bord même ceux qui demandent de l’aide ou qui vendent des misères!), dans les magasins ou dans les rues, ceux qui me sourient, qui me parlent ou qui m'aident sans même me connaître (ou alors une fois identifié mon accent, me demandent : « de donde es Usted ? ») . Ces gestes simples mais significatifs me rappellent que nous sommes tous connectés, et que nous pouvons faire une différence positive dans la vie des autres, même de manière anonyme.

Je suis également reconnaissant pour les enseignements que j'ai reçus tout au long de ma vie. Mes parents (décédés mais qui sont toujours vivant dans mon cœur et celui de mes frère et sœurs), mes professeurs (surtout à l’âge adolescente qui m’ont supporté... à cause de mes bonnes notes peut-être !) , mes mentors et toutes les personnes qui m'ont inspiré et m'ont aidé à grandir en tant qu'individu. Leurs conseils et leurs encouragements (leurs punitions aussi !) m'ont permis de surmonter les obstacles et de devenir la personne que je suis aujourd'hui.

Enfin, je suis reconnaissant pour les opportunités que j'ai eues dans ma vie. Les voyages, les études (très jeunes mais qui pouvaient aller plus loin !) , les emplois (mon chaud et froid !), les projets (morts nés dans le pays des apparences), les passions et les défis qui m'ont permis de grandir, d'apprendre et de me développer en tant qu'individu. Chacune de ces expériences a été une leçon de vie qui m'a permis de découvrir de nouvelles perspectives et de m'ouvrir à de nouveaux horizons.

En somme, la vie est belle et précieuse, et il y a tant de raisons d'être reconnaissant et heureux chaque jour. En prenant le temps de s'arrêter et d'apprécier les merveilles qui nous entourent, nous pouvons trouver une source de joie et d'inspiration qui peut nous aider à surmonter les défis et les difficultés de la vie quotidienne. Alors, soyons positifs, apprécions ce qui est beau et continuons à faire du bien

samedi 1 avril 2023

14 - Essayer une "Chronique journalistique" ! Quelle contrainte!


 

Passée ou presque la période de la pandémie tracée par le COVID-19, me voilà de retour mais avec une humeur plutôt réaliste et visionnaire (me semble-t-il !). Je me suis demandé sur quoi j’allais reprendre ces habitudes de monologue, de réflexion et de méditation et je n’ai trouvé de mieux que de vous faire partager une vision actuelle sur notre monde en ces temps de 2023.

Je me mets dans la peau d’un journaliste cette fois-ci.

Eh oui, un enseignant de langue, quel rôle ne jouerait-il pas autant qu’il le fait jouer à ses élèves. Bien qu’il m’arrive souvent d’aller au-delà des réponses fournies par les Méthodes (les livres d’enseignement avec leurs corrigés), surtout s’agissant de niveaux avancées, en apportant mes participations personnelles dans des productions question de m’affirmer dans mes fonctions et montrer qu’on est pas prof pour rien, seulement se risquer à écrire un article soi-disant « de presse » demanderait un peu plus de « souffle » et d’endurance comme un athlète qui se prépare à courir dix mille mètres alors qu’il est spécialiste de sprint surtout. Chose impossible me diriez-vous ! En sport physique je m’entends !

Prenons le risque intellectuellement et voyons voir !

Mon article :

2023 : un monde en mouvement mais entre espoir et incertitude

« Depuis le début de l'année 2023, tel que nous sommes informés, le monde entier est confronté à une série de défis sans précédent, allant des crises économiques et politiques aux bouleversements environnementaux et sanitaires. Alors que la pandémie de COVID-19 continue de sévir dans de nombreuses régions du monde, les pays doivent également faire face à des enjeux économiques, environnementaux et géopolitiques complexes.

Dans ce contexte, l'humanité est mise à l'épreuve, mais elle montre également sa résilience et sa capacité à s'adapter face à l'adversité.

Sur le plan économique, plusieurs pays font face à des difficultés. Les États-Unis et la Chine, les deux plus grandes économies du monde, ont été touchées par une série de chocs, tels que les tensions commerciales et les restrictions liées à la pandémie. Dans le même temps, les pays émergents, tels que l'Inde et le Brésil, ont connu une croissance ralentie. On peut dire que sur ce plan, la reprise est encore fragile. Si certains pays ont réussi à relancer leur croissance, d'autres continuent de souffrir de la récession et de l'augmentation du chômage. Tous les pays doivent continuer à investir dans des mesures de relance et de protection sociale pour aider les populations les plus vulnérables à se remettre de la crise.

La pression sur les gouvernements pour trouver des solutions durables et équitables se fait de plus en plus forte.

Sur le plan géopolitique, la situation est tout aussi préoccupante. Les tensions sont vives dans de nombreuses régions du monde. Les conflits et les crises continuent de secouer plusieurs pays, comme en Syrie, en Afghanistan, en Ukraine et au Yémen. Les États-Unis et l'Union européenne ont également connu une polarisation croissante, avec des tensions internes et des remises en question de leur leadership mondial. Enfin, les relations entre les grandes puissances sont tendues, que ce soit entre les États-Unis et la Chine d’une part ou entre la Russie et l'Europe d’autre part. La question des migrations, enfin, continue d'être un enjeu majeur pour de nombreux pays, qui peinent à trouver des solutions durables pour répondre aux besoins des réfugiés et des demandeurs d'asile.

Sur le plan environnemental, alors que les catastrophes naturelles se multiplient et que les impacts du changement climatique sont de plus en plus perceptibles, notamment avec l'augmentation de la fréquence et de l'intensité des phénomènes météorologiques extrêmes, des températures records, des sécheresses et des catastrophes qui touchent des millions de personnes à travers le monde. Les appels pour des actions urgentes se multiplient et se font de plus en plus pressants, mais les avancées restent modestes car la mise en œuvre de politiques concrètes est souvent freinée par des intérêts économiques et politiques. Le défi environnemental reste donc majeur d’autant que les pays peinent à s'entendre sur les mesures à prendre, comme la mise en place de la taxe carbone à l'échelle mondiale pour réduire les émissions de gaz à effet de serre et protéger ainsi la planète

Enfin, sur le plan sanitaire, la pandémie de COVID-19 continue de faire des ravages, avec de nouveaux variants qui se propagent rapidement dans le monde entier. Bien que les vaccins soient de plus en plus disponibles, leur déploiement reste inégal entre les pays riches et les pays pauvres. La situation reste donc préoccupante. Certes les vaccins auraient permis de réduire le nombre de cas et de décès dans de nombreux pays, mais de nouveaux variants du virus continuent de se propager, mettant à rude épreuve les systèmes de santé et la capacité des gouvernements à gérer la crise. Dans certains pays, les campagnes de vaccination rencontrent également des obstacles logistiques ou sont freinées par la méfiance de la population.

Malgré ces défis, il existe également des raisons d'espérer. La coopération internationale s'intensifie pour faire face aux crises, avec des initiatives pour lutter contre le changement climatique, promouvoir la santé mondiale et renforcer la solidarité entre les nations. Cette dernière a permis de soutenir les pays les plus touchés par la pandémie, et des avancées ont été réalisées dans certains domaines, comme la lutte contre la pauvreté ou la promotion de l'égalité des genres.De plus, la jeunesse est de plus en plus engagée dans les mouvements pour la justice climatique et sociale, et certains gouvernements prennent des mesures audacieuses pour répondre aux défis du XXIe siècle. Sans oublier que les progrès technologiques offrent également des opportunités pour résoudre les problèmes les plus urgents de notre époque.

En somme, l'année 2023 s'annonce comme une année charnière pour l'avenir de notre planète et de nos sociétés. Les défis sont nombreux, mais les solutions existent également. Reste à savoir si la communauté internationale saura faire preuve de leadership et de solidarité d’envergure planétaire pour relever ces défis, et tracer ensemble un avenir plus juste et plus durable pour tous.

Bref, le monde en 2023 est en mouvement, avec des hauts et des bas, mais il reste possible de construire un avenir meilleur si les nations travaillent ensemble pour relever les défis communs.

2023, ne serait-elle pas l'année de tous les changements ? En tout cas, de nombreux signes encourageants montrent que des changements significatifs sont possibles. Les jeunes générations, espoir du futur, sont plus engagées que jamais dans les mouvements sociaux et environnementaux. »

Fin de l’article.

Terminé cette « chronique journalistique », j’avoue que je me sens un peu frustré !

J’aurais aimé rouvrir des parenthèses, ironiser, dire ce que j’en pense réellement et d’où vient la cause du problème à mes yeux, ou quel serait l’idéal pour apporter des solutions, mais je devais me restreindre à ma règle de jeu établie depuis le début. Je suis un bon étudiant moi, je respecte la « consigne » !

Mais, en fin de compte, serais-je tenté de rejouer la scène une autre fois ? Je n’en suis pas sûr. Je me contente de ma profession. Je me sens ainsi libre ! Sans contraintes ! Sauf de la « consigne ! ».

Ah ! Tout de même !!

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